Pourquoi j’ai arrêté de courir après mes objectifs pour mieux les atteindre : un récit surprenant

Vous savez ce qui est plus difficile que définir un objectif ? Le garder en ligne de mire quand le frigo vous appelle ou que la vie vous envoie ses imprévus. Pendant longtemps, j’ai couru après mes objectifs comme un sprinteur sur 100 mètres : à fond, tête baissée, sans souffler. Résultat ? Burn-out, frustration et une sensation de tourner en rond. Jusqu’au jour où j’ai décidé d’arrêter de courir… pour mieux avancer. Voici un récit surprenant et, je l’espère, inspirant.

Comprendre pourquoi courir après ses objectifs peut vous ralentir

Quand on parle d’atteinte des objectifs, on imagine souvent un effort constant, une course effrénée vers la ligne d’arrivée. Pourtant, cette approche peut vite devenir contre-productive. Pour bien comprendre, il faut distinguer deux choses :

  • Courir après un objectif : c’est s’épuiser, vouloir tout faire tout de suite, sans pause ni recul.
  • Avancer vers un objectif : c’est progresser avec méthode, ajuster sa trajectoire et accepter les pauses.

J’ai réalisé que cette course folle m’éloignait de la vraie réussite. En voulant tout faire maintenant, j’oubliais souvent pourquoi je faisais ces efforts. Mon esprit était focalisé sur la quantité d’actions, pas sur leur qualité ni leur sens.

Une anecdote pour illustrer

Je me rappelle un matin où, à peine levé, je me lançais dans une to-do list interminable. À midi, j’étais déjà épuisé et démotivé. J’avais l’impression d’être dans une roue de hamster : beaucoup d’énergie dépensée, peu d’avancées concrètes. Ce jour-là, j’ai compris que courir après mes objectifs ne me rendait pas plus efficace, juste plus fatigué.

L’importance de la pause stratégique pour redéfinir sa trajectoire

Arrêter de courir ne veut pas dire s’arrêter tout court. C’est d’abord accepter de prendre du recul pour mieux voir son chemin. La pause stratégique est cet instant précieux où vous vous posez les bonnes questions :

  • Est-ce que mon objectif est toujours pertinent ?
  • Est-ce que je m’y prends de la bonne façon ?
  • Quels obstacles récurrents m’empêchent d’avancer ?

Cette phase d’auto-analyse est cruciale. Elle m’a permis de comprendre que certains objectifs n’étaient pas alignés avec mes valeurs profondes ou que mes méthodes n’étaient pas adaptées à mon rythme.

Outils pratiques pour une pause efficace

Pour ceux qui veulent essayer, voici quelques pistes concrètes :

  • Journal de bord : noter ses réussites et difficultés chaque jour.
  • Mind mapping : visualiser ses objectifs et les étapes.
  • Méditation ou moments sans écrans : pour clarifier ses idées.

Vous cherchez un outil pour suivre vos progrès facilement ? Trello est mon allié préféré.

Adopter un rythme durable : la clé pour avancer sans s’épuiser

Une fois la pause faite, j’ai adopté un rythme qui respecte mon énergie et mes priorités. Plutôt que de courir, j’ai commencé à marcher avec intention, en fractionnant mes objectifs en petites étapes réalisables.

Pourquoi ce rythme fonctionne mieux ?

  • Il permet de garder la motivation sur le long terme.
  • Il réduit le risque de burn-out et de découragement.
  • Il offre de la flexibilité face aux imprévus.

Voici un tableau simple pour comparer les deux approches :

Aspect Courir après ses objectifs Avancer avec rythme durable
Énergie dépensée Élevée, souvent excessive Modérée, adaptée à ses capacités
Motivation Fluctuante, souvent en dents de scie Stable, construite sur des succès réguliers
Gestion des imprévus Difficulté à s’adapter Facilité à ajuster la trajectoire
Résultats Souvent décevants ou instables Progrès constants et durables

La discipline n’est plus un gros mot, mais un allié qui s’adapte à votre rythme.

Le mindset qui a tout changé : lâcher prise pour mieux contrôler

Vous pensez que lâcher prise, c’est abandonner ? Détrompez-vous. Pour moi, lâcher prise a été la clé pour reprendre le contrôle. Ça signifie accepter que tout ne soit pas parfait, que l’échec fait partie du chemin et que la flexibilité est une force.

Comment cultiver ce mindset ?

  • Accueillir ses émotions sans les juger.
  • Se fixer des objectifs réalistes et ajustables.
  • Célébrer chaque petit succès pour renforcer la confiance.

Je me souviens d’une phase où j’ai dû revoir complètement un projet parce qu’il ne fonctionnait pas. Au lieu de paniquer, j’ai décidé de le voir comme une expérimentation. Ce changement d’état d’esprit m’a libéré et donné l’énergie de recommencer avec des bases plus solides.

Si vous souhaitez approfondir ce sujet, je vous recommande Atomic Habits, un livre formidable pour installer des habitudes durables.

Arrêter de courir après mes objectifs a été une révélation : j’ai gagné en clarté, en énergie et surtout en plaisir. Parce qu’un plan, c’est bien. Mais un plan qu’on applique avec sérénité, c’est encore mieux.

Mon dernier conseil ? Essayez dès aujourd’hui de ralentir un peu, de faire une pause stratégique et d’ajuster votre rythme. Vous verrez, la réussite n’est pas une course de vitesse, mais un marathon où chaque pas compte.

Pour vous aider à organiser vos objectifs sans stress, jetez un œil à Todoist, un outil simple et efficace pour garder le cap sans se perdre.

Allez, on y va, mais on prend le temps de souffler entre deux foulées !

4 réflexions au sujet de “Pourquoi j’ai arrêté de courir après mes objectifs pour mieux les atteindre : un récit surprenant”

Laisser un commentaire

Magnétiseur à Genève